Les parcours inspirants de nos étudiants engagés
- Au bénéfice d’une formation en sciences de la consommation humaine et vivante -
En cette fin de session, il s’agit de l’occasion parfaite pour mettre de l’avant trois étudiants en sciences de la consommation dont l’implication saura vous inspirer. J’en profite, au nom de toute l’équipe, pour féliciter les nombreux autres étudiants qui ont et qui feront preuve d’engagement et d’implication au sein de nos programmes en sciences de la consommation.
De l’engagement académique à l’engagement professionnel
Il est sans nul doute que l’implication des étudiants lors de leur parcours universitaire contribue à forger, de multiples façons, leur expérience académique et plus largement, leur expérience professionnelle. En ce sens, voici un aperçu des raisons pouvant inciter les étudiants à s’impliquer lors de l’un des moments les plus significatifs de leur vie – leur cheminement universitaire.
Développer un sentiment d’appartenance envers son programme d’études.
Faire de nouvelles rencontres, bâtir son réseau de contacts et tisser de nouvelles amitiés.
Vivre des expériences stimulantes et explorer de nouveaux centres d’intérêt.
Augmenter sa motivation.
Développer des connaissances et des compétences personnelles complémentaires.
Améliorer ses résultats académiques et favoriser sa réussite scolaire.
Favoriser son insertion professionnelle et sociale.
Le baccalauréat en sciences de la consommation vise à former des professionnels capables d’aider les organisations à prendre conscience de leur rôle social et de l'importance de se soucier des intérêts du consommateur. Cela passe vraisemblablement par un certain niveau d’engagement social et professionnel qui peut se forger dès les débuts de la scolarité. En cette fin de session, il s’agit de l’occasion parfaite pour mettre de l’avant trois étudiants en sciences de la consommation dont l’implication sera vous inspirer.
Rébecca Néron – Étudiante de 3e année en sciences de la consommation
Quelles ont été tes implications dans le cadre de ton cheminement universitaire en sciences de la consommation ?
Mon désir d’implication est né de mon engagement au sein du REC – Regroupement des étudiants en sciences de la consommation – en tant qu’adjointe recrue, d’abord, puis en tant que présidente pendant deux années consécutives. En plus de cela, j’ai également eu l’occasion de m’impliquer dans le cadre de diverses initiatives départementales, et ce, en participant à des événements ainsi qu’à la mise en place d’outils promotionnels et informationnels visant
le rayonnement des programmes en sciences de la consommation.
Qu'est-ce que ton implication t’a apporté sur le plan personnel et professionnel ?
Je viens d’une petite région et quand j’ai pris la décision de déménager à Québec pour amorcer mes études au baccalauréat en sciences de la consommation, je ne connaissais personne et j’étais de nature timide. L’implication fut donc pour moi la solution qui me semblait la plus pertinente afin de me bâtir un réseau de contacts et faire ma place dans mon programme d’études. À cette époque, j’ignorais encore que les étudiants que je côtoyais deviendraient ma deuxième famille.
Mon engagement dans les divers projets m’a apporté sur le plan personnel ainsi que professionnel, mais parmi tous les bénéfices que j’ai pu en tirer, le plus significatif pour moi est le fait que désormais, je sais communiquer de manière beaucoup plus fluide. En effet, je prends maintenant plus facilement la parole devant un groupe et je le fais avec davantage de confiance et de clarté.
De plus, étant la présidente du REC, je dois coordonner les différentes activités de l’association et afin d’honorer ce mandat, j’ai su développer mon habileté à identifier les ressources nécessaires à la conduite d'une activité ou d'un projet, définir les tâches à accomplir ainsi que les étapes permettant d’y parvenir. Cette expérience m’a ainsi permis de développer ma capacité à bien planifier les différentes sphères de ma vie ainsi qu’à coordonner efficacement une équipe.
Comment l'implication étudiante peut-elle contribuer à rendre vivant le programme d'études en sciences de la consommation ?
En raison de la pandémie, la vie étudiante était moins présente et je suis fière d’avoir contribué à remettre de la vie dans le programme, et ce, en organisant différents événements et activités. Il est important pour moi que notre programme d’études soit vivant et empreint d’une approche humaine, car ça permet aux étudiants de pleinement s’intégrer, de tisser des liens et de s’investir à leur tour. En somme, l’implication stimule l’implication et tout le monde a sa place!
Philip Mackay – Étudiant de 2e année en sciences de la consommation
Quelles ont été tes implications dans le cadre de ton cheminement universitaire en sciences de la consommation ?
Ma toute première implication fut lors du défilé de mode en sciences de la consommation à titre de mannequin. J’ai décidé de prendre part à cet événement phare de nos programmes, puisque la grande majorité de nos cours étaient offerts à distance (en raison de la pandémie) et j’en ai conclu que la participation active à cette activité était l’occasion parfaite de rencontrer les autres étudiants ainsi que de tisser des liens avec ces derniers.
Ayant particulièrement apprécié cette expérience ainsi que les bénéfices que mon implication pouvait m’apporter, j’ai posé ma candidature et obtenu le poste de vice-président aux projets au sein du REC – Regroupement des étudiants en sciences de la consommation. Cette expérience m’a à son tour permis d’occuper une place importante au sein de mon programme d’études. S’en sont suivi d’autres collaborations telles que ma participation, en tant qu’étudiant ambassadeur, lors des portes ouvertes de notre programme.
Qu'est-ce que ton implication t’a apporté sur le plan personnel et professionnel ?
Mon implication m’a permis de vivre une expérience académique enrichissante, et ce, en jumelant le volet théorique au volet pratique. En effet, mes cours me permettent d’approfondir mes connaissances et mon implication me permet de développer mes habiletés et mes compétences.
De plus, grâce à mon engagement vis-à-vis de mon programme d’études, j’ai pu agrandir mon réseau de contacts, bâtir des amitiés significatives, et surtout, permettre aux autres étudiants en sciences de la consommation de faire de même. Cette contribution, je l’ai fait pour moi, mais aussi pour les autres et cela m’a permis d’accroître ma confiance en moi, autant sur le plan personnel que professionnel, car je sais maintenant que je suis capable de m’épanouir en contribuant au succès de la vie étudiante.
Comment l'implication étudiante peut-elle contribuer à rendre vivant le programme d'études en sciences de la consommation ?
Je réalise maintenant que s’engager activement est bénéfique et contagieux, car plus on s’implique, plus on a envie de s’investir et plus on motive les autres à le faire à leur tour. On est chanceux, car en sciences de la consommation, tout naturellement, les étudiants sont mobilisés et on devient ainsi une grande famille qui se soutient et se propulse vers l’avant. Notre vie étudiante est vraiment trippante, car on peut participer à beaucoup d’activités et d’événements autant à teneur éducative qu’en dehors des murs de l’Université lors desquels on peut lâcher notre fou et remplir notre réservoir de motivation.
Hubert Coulombe – Étudiant de 3e année en sciences de la consommation
Quelles ont été tes implications dans le cadre de ton cheminement universitaire en sciences de la consommation ?
Ayant fait mon entrée à l’Université pendant une période de pandémie, mon implication, d’abord à titre d’adjoint aux affaires socioculturelles et ensuite à titre de vice-président aux affaires socioculturelles, au sein du REC – Regroupement des étudiants en sciences de la consommation – m’a permis de mieux me familiariser avec mon programme universitaire. Ces expériences ont fait en sorte que j’ai eu l’occasion d’organiser plusieurs événements améliorant la vie universitaire des étudiants,
mais également le rayonnement des perspectives d’emploi et de
carrière.
Qu'est-ce que ton implication t’a apporté sur le plan personnel et professionnel ?
Pendant la pandémie, on n’avait pas de contact avec les autres étudiants, pourtant notre parcours universitaire devrait être l’occasion par excellence pour développer des relations qui enrichiront notre parcours. Étant une personne particulièrement sociable, j’avais besoin de rencontrer des gens. De plus, je voulais sortir du cheminement universitaire typique, exercer des responsabilités supplémentaires ainsi qu’avoir un impact positif dans le baccalauréat en sciences de la consommation et être au centre des événements et des activités. Mon implication m’a permis d’atteindre les différents objectifs que je m’étais fixés.
Mon implication m’a également permis de m’éclairer vis-à-vis des différentes perspectives du travail en équipe et de la collaboration. En effet, le REC, étant comme une petite entreprise, on devait atteindre nos objectifs et répondre aux attentes et besoins des étudiants. Ça a été une immense fierté pour moi de voir les étudiants s’amuser et triper pendant leur cheminement universitaire, et ce, grâce à la participation coordonnée d’étudiants désireux de s’investir pleinement et de faire une différence.
Comment l'implication étudiante peut-elle contribuer à rendre vivant le programme d'études en sciences de la consommation ?
Pour moi, une association étudiante est nécessaire dans un programme, car c’est nous qui sommes la source de la vie étudiante et c’est nous qui sommes en charge de combler les besoins, les envies et les aspirations des étudiants, en dehors des activités académiques de base. Pour y parvenir, chacun à un rôle déterminant à jouer et c’est en alliant nos efforts qu’on a pu réaliser de grands projets et activités qui ont contribué à rendre notre programme d’études plus humain et vivant.
Ann-Marie Gosselin
Chargée d’enseignement et gestionnaire de projets en sciences de la consommation
Département d’économie agroalimentaire et des sciences de la consommation